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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 18:55

Pour conclure cette tranche de vie africaine, je voulais vous faire part de ce message d'un ami très cher .


"Merci, Doris Darjela, pour cette visite enrichissante à faire rêver et donner des ailes. On vous suivrait jusqu'à l'Oméga. Tous les sentiers qui montent mènent au ciel ! À ...bien tôt, bon pied, bon œil et bon vent. La bise à tous nos frères et sœurs que vous rencontrerez sur votre chemin, de notre part !"

Mimette et Louis

 

 


 

 

 

Mimette et maman sont maintenant dans cet Oméga incommensurable et lumineux. Vous serez toujours dans nos coeurs et nos pensées...


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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 18:32


Tchao, l'Afrique, jusqu'à l'automne!
Retour avec Air Algérie,





Les Alpes et le Mont Blanc ?



à bientôt pour de nouvelles aventures...

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 18:00

















Et l'Inde qui me poursuit... et m'appelle...sur le mur d'un petit bistrot où nous prenons notre petit déjeuner à Ouagadougou! C'est du pur "Bollywood"...


 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 17:17


Pour le plaisir des yeux, comme on dit en Afrique!!!












 

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 15:38

Même au marché, les éléphants... "ça trompe énormémént" !!!

 


Au bistrot, tout frais découpé devant vos yeux...

 


"petites crottes " de poissons séchés...

 


L'huile de palme.

 


 


La mousse de bière locale, la "tchoukoutou" !!!

 


La noix de cola est encore utilisée en médecine africaine pour ses propriétés toniques et astringentes Elle renferme de la caféine. C'est donc aussi un stimulant nerveux et tonique pour le coeur. Sa réputation d’aphrodisiaque repose essentiellement sur son effet stimulant.



 


Mon régal africain, les petits pains tout chauds...

 


Du soja, très consommé au Bénin.

 


Petites "savonettes" locales.

 


La moutarde...locale, de néré ou "afiti".

 


Belles tomates "coeur de boeuf" pas chères!

 


Les brosses à dents "écolos"...

 


Consommé en légume-racine, l'igname est riche en protéines et vitamine C...

 

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 16:27

 

 

 

http://mail.google.com/mail/?ui=2&ik=5507a711fa&view=att&th=12dd161150a4d7bb&attid=0.1&disp=inline&zw

 

La première, Doris-Thiéning, née en avril 2000, à Yayème, Sénégal.

 

 

http://mail.google.com/mail/?ui=2&ik=5507a711fa&view=att&th=12dd17043dcf93d2&attid=0.1&disp=inline&zw

 

La deuxième, Doris-Diénaba, née en 2003, à Sokone, Sénégal.

 

 

Il manque la troisième dont je n'ai pas encore de photos, née en 2010, au Mali, à Bafoulabé.

 

 

 

 

La quatrième, Sarah-Doris, née en novembre 2010 à Ouagadougou, au Burkina Faso! 

 

 

 

 

LONGUE VIE

à ces bébés et à leurs parents

 

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 12:02

 

 

Deux autres étapes du moulage des bronzes

 

 

 


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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 17:37




Lors de mon séjour à Ouagadougou, en novembre dernier, j'ai découvert le Centre National d'Art et ses nombreux et talentueux artisans dont les bronziers. Arouna en fait partie, c'est un ami de Anne, artiste de talent et mon amie.

http://www.annecasteu.com/


J'avais promis de faire un article sur lui, voilà c'est chose faite!

Arouna DERME est né le 4 septembre 1973 à Ouagadougou au Burkina Faso. Il est issu de la plus grande famille de bronziers, les DERME, originaires de Tombouctou au Mali où ils étaient au service du roi. Lorsque sa famille a émigré au Burkina, qui à l'époque appartenait au royaume du Mali, elle s'est installée dans le quartier de Nioxin, un des plus grands et des plus anciens quartiers de Ouagadougou.
Selon la tradition qui se perpétue encore aujourd'hui, les garçons apprennent très tôt le travail du bronze. Petit, Arouna confectionne des bijoux en aluminium et en argent. Puis, son père l'initie au travail du bronze; il crée alors des pièces figuratives: porteurs d'eau, mendiants, animaux de la brousse.
Vers l'âge de 16 ans, il commence une création d'inspiration personnelle et ses oeuvres deviennent alors de plus en plus abstraites.
En 1999, il intègre le Centre National d'Artisanat d'Art de Ouagadougou où il travaille encore régulièrement.
Pendant la période 2001/2002, il dispense des cours de sculpture sur bronze à l'École Internationale de Bamako, au Mali.

EXPOSITIONS

1994 : Sommet France-Afrique à Ouagadougou, Burkina Faso.
1996 et 1997 : Festival des Arts de la rue de Grand Bassam, à Abidjan ( Côte d'Ivoire)
1997: festival Panafricain du Cinéma et de Télévision de Ouagadougou (FESPACO) 1999 à ce jour : Centre National d'Artisanat d'Art de Ouagadougou, Burkina Faso. (CNAA) 2001 : Foire-exposition de Corps de la Paix de Bamako, Mali.
2001 : Expo-vente des artistes de Bamako, Mali.
2001 : Centre Culturel Français de Bamako, Mali. ( CCF )
2002 : Expo-vente des artistes de Bamako, Mali.
2003 : Centre Culturel Français de Ouagadougou, Burkina Faso. ( CCF )
2004 : Maison d'Argile à Laval, France.
2005 : exposition au Ghana " a Keep Cause"
2006 : exposition à la Galerie " Gon-Goona", Ouagadougou, Burkina Faso.
2007 : exposition à Conakry, Guinée.
2008 : exposition au SIAO de Ouagadougou, Burkina Faso.
2009 : réalisation des Tableaux d'Or de l'Ordre du Mérite des Pharmaciens duFaso.
2009 : exposition en Belgique.
2009 : exposition en Hollande avec la Galerie W.
2009 : participation à la réalisation de monument dénommé:"Kounga" ou rencontre pour le site Zong-Piinga de Zorgho, Burkina Faso.
2009 : participation à la réalisation des trophées du FESPACO 2009. 2010 : exposition à Metz, France
2010 : résidence à Zorgho, rencontres artistiques et réalisation de l'Arbre de la Paix, création collective.

En ce moment, Arouna se lance dans l'apprentissage d'une nouvelle technique , celle du Verre... à suivre ....

vous pouvez le contacter au : 00 226 76 65 85 95 / 50 30 68 35 / 78 52 26 58

E-mail : derme_arouna@yahoo.fr







Arouna est non seulement un artiste de talent, mais un être humain d'une gentillesse et d'un dévouement exemplaires.

Merci à toi, Arouna et BONNE VIE !

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13 janvier 2011 4 13 /01 /janvier /2011 09:43
Le Tata Somba, maison traditionnelle du peuple Otamari, littéralement "celui qui construit avec de la terre pétrie" est en voie de disparition au nord du Bénin, dans la région de l'Atacora.


Au Togo, il est classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, malheureusement les lenteurs administratives n'ont pas encore permis le classement des Tata somba du Bénin..


Lors de notre livraison de matériel à l'orphelinat de Boukombé, sur le chemin du retour, nous avons été invités à visiter le Tata somba d'une famille tout ce qu'il y a de plus authentique!
Avec une grande gentillesse, toutes les explications nous ont été fournies pendant la visite, par Sylvain, le propriétaire des lieux.


Cet habitat était jadis construit très haut pour se protéger des animaux féroces et de l'ennemi en période de guerre.
Un Tata somba est constitué de trois tours, (variable selon les régions) surmontées chacune d'un grenier et de deux cases coiffées de paille avec au centre une terrasse pour sécher les récoltes.





A l'entrée étroite, unique porte de la maison, les "totems" nous accueillent, dieux gardiens de la famille. A chaque naissance correspondent ces pierres qui grandissent avec la personne et sont enlevées à sa mort.


On trouve au rez-de-chaussée, la cuisine, les poulaillers, les étables des moutons ou des vaches, le salon et la chambre des personnes âgées.



la réserve de "gri-gri"

Chaque chose a sa place et chaque personne de la famille a son propre compartiment.



La maman de Sylvain, l'ancêtre parée de ses bijoux.



pour ceux qui veulent en savoir plus : http://www.teheran.ir/spip.php?article1159
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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 12:49










 

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